RetourĂ  la rubrique feuilletons chapitre 25 croc blanc (le sommeil du loup) (RĂ©sumĂ© ou premiĂšres lignes de l'oeuvre) L'apprentissage de la vie par un louveteau Retour Ă  la rubrique feuilletons Retour au menu Retour au menu randonnĂ©elac du maroly; platine poteau rond castorama; recette compact cook platinum; billes d'argile brico; Ű§Ù„Ű±ŰŠÙŠŰłÙŠŰ©/8 jours sans alcool bienfaits/ tout s'effondre rĂ©sumĂ© par chapitre. Ă©tude de cas auchan tout s'effondre rĂ©sumĂ© par chapitre. 2022-06-01. 0 400mots 2 pages. Montre plus. RĂ©sumĂ© du livre : « Croc-Blanc ». C’est au milieu d’un paysage enneigĂ© dans le Grand Nord Canadien que quelques hommes tentent de vivre ou survivre prisonniers du froid et d’un hiver sans fin . Cependant , ils n’y sont pas seuls . Montreplus RĂ©sumĂ© du livre : « Croc-Blanc » C’est au milieu d’un paysage enneigĂ© dans le Grand Nord Canadien que quelques hommes tentent de vivre ou survivre prisonniers du froid et d’un hiver sans fin . Cependant , ils n’y sont pas seuls . Ils sont entourĂ©s d’animaux sauvages parfois fĂ©roces qu’ils arrivent dans de rares cas Ă  domestiquer . Articlestraitant de RĂ©sumĂ© chapite par chapitre Croc Blanc Ă©crits par Emilievousdittout Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. LES LOUPS 1/ Dans le Grand Nord du Canada, le dĂ©sert froid est immense, la plaine blanche s’étend jusqu’à l’horizon et les forĂȘts de sapins sont noires et tristes. Au milieu d’un fleuve glacĂ©, s’avançait un attelage de chiens-loups. Leur fourrure Ă©tait recouverte de neige. Ils tiraient un traineau qui glissait dans la neige molle. Sur le traineau, un cercueil en bois, des couvertures et des outils. Un homme Ă  l’avant, chaussĂ© de raquettes, et un autre homme Ă  l’arriĂšre, avançaient de toutes leurs forces, le visage couvert de givre. Dans le cercueil, ils transportaient leur camarade mort dans le Grand Nord glacĂ©, le froid l’avait tuĂ©. Une heure passa, la nuit tombait. Soudain, dans le silence, ils entendirent un cri lointain, puis un second, plus proche. Les loups, dit Bill l’homme Ă  l’arriĂšre, on dirait qu’ils nous cherchent ! – C’est qu’il n’y a pas grand-chose Ă  manger, par ici ! » La nuit tombĂ©e, les deux hommes installĂšrent leur campement prĂšs du fleuve. Le cercueil leur servit de siĂšges et de table. Bill prit six poissons pour les distribuer aux chiens. Quand il eut fini, un des chiens n’avait pas eu son repas ! Mais, Henry, combien avons-nous de chiens ? – Tu sais bien que nous en avons six ! – Comment se fait-il qu’il manquait un poisson ? – Tu as dĂ» mal compter
 – Non non, je crois qu’un autre animal est venu manger un poisson, et il est reparti. » Les deux hommes entendirent encore un long cri dans la nuit. Tu crois que c’était un loup ? – Certainement. » Soudain, toute la meute de loups se mit Ă  hurler, et les chiens aboyĂšrent. Ils avaient peur et se rapprochĂšrent du feu. Bill y ajouta du bois et alluma sa pipe. Tu vois, dit-il Ă  Henry en montrant le cercueil, je me demande ce que cet homme Ă©tait venu faire dans ce pays, mais au moins, il n’a plus peur de rien ! » Henry lui fit signe de se taire, il venait d’apercevoir des yeux briller dans le noir tout prĂšs. Les loups les entouraient. Les chiens, terrorisĂ©s, vinrent se serrer contre eux. L’un d’eux s’approcha tant du feu qu’il se brĂ»la et hurla, ce qui fit disparaĂźtre un moment les paires d’yeux autour d’eux. Combien nous reste-t-il de balles ? demanda Henry. – Trois seulement. -Sales bĂȘtes. Et ce froid ! Ah que j’aimerais ĂȘtre au chaud chez moi ! » Les hommes se couchĂšrent dans leurs couvertures. Ils firent du feu toute la nuit pour que les loups ne s’approchent pas. En s’endormant, Bill pensa Je me demande pourquoi les chiens n’ont pas aboyĂ© quand un loup est venu manger un poisson
 » 2/ Le lendemain matin, Ă  6 heures, il faisait encore nuit noire. Le soleil se lĂšve tard en hiver dans le Grand Nord. Bill prĂ©parait du cafĂ©, soudain il cria HĂ© ! Il n’y a plus que 5 chiens ! – Il a du se faire dĂ©vorer ! – Mais nous n’avons rien entendu ! – Oui, c’est bizarre 
. » Le dĂ©jeuner terminĂ©, les deux hommes chargĂšrent le traĂźneau et repartirent dans la forĂȘt. Ils avancĂšrent et les loups les suivirent toute la journĂ©e. Le soir, ils campĂšrent Ă  nouveau. Pendant que Henry donnait Ă  manger aux chiens, un loup bondit et attrapa un poisson dans sa main. » Ah ! la sale bĂȘte ! – comment Ă©tait-il ? – Je n’ai pas eu le temps de bien le voir, c’est un loup qui ressemble Ă  un chien. » Pendant qu’ils mangeaient, ils aperçurent encore des yeux autour d’eux. » Allez – vous en ! cria Bill avant de s’endormir prĂšs du feu. Le lendemain, un chien avait encore disparu. Ce n’est pas possible ! – Les chiens se font dĂ©vorer sans nous rĂ©veiller, c’est incroyable ! – Pauvre chien, c’était un bon chien
 » Les hommes avancĂšrent encore toute la journĂ©e, toujours suivis par les loups. Il manquait deux chiens pour tirer le traĂźneau. Ils avaient peur et froid. Le soir Bill attacha les chiens serrĂ©s les uns aux autres et Ă  un tronc d’arbre tout prĂšs d’eux. Regarde Henry, comme ça ils ne pourront pas bouger, nous serons tranquilles. » La nuit, autour du feu, les paires d’yeux Ă©taient lĂ . Ah si nous avions des balles pour leur tirer dessus ! » 3/ Soudain, ils virent un animal ressemblant Ă  un chien s’approcher des quatre chiens attachĂ©s. Regarde, dit Bill, c’est une louve. Elle attire les chiens un Ă  un loin de nous et toute la meute leur saute dessus pour les dĂ©vorer ! » Henry frappa dans ses mains et la louve disparut dans la nuit. Cette louve est trĂšs maligne. Elle a l’air de connaĂźtre l’heure de repas des chiens. Je crois qu’elle a Ă©tĂ© apprivoisĂ©e. – Elle est Ă  moitiĂ© chienne. – Elle est trĂšs dangereuse. Avec un peu de chance, on pourra la tuer avec nos trois cartouches. » Le lendemain matin, un autre chien avait disparu. Il n’en restait plus que trois. Les hommes Ă©taient furieux. La nuit prochaine, je tuerai cette louve, murmura Bill. » Les deux hommes reprirent leur marche. Ils trouvĂšrent les os du chien disparu peu aprĂšs. Ces loups doivent ĂȘtre affamĂ©s, ils vont finir par nous dĂ©vorer aussi ! – Ah ! Si je sors vivant de ce cauchemar, je ne reviendrai jamais dans ce pays de malheur ! » Au milieu de la journĂ©e, Bill prend le fusil et dit J’en ai assez de ces bĂȘtes qui nous suivent ! Reste lĂ , je vais aller voir. – Sois prudent Bill, rĂ©pondit Henry. » Bill partit le fusil sur l’épaule et revint une heure plus tard. Je les ai vus, dit-il, ils sont trĂšs maigres, ils doivent avoir tellement faim ! Ils vont nous suivre pour nous manger. Sinon, c’est eux qui mourront de faim ! » Les hommes se remirent Ă  avancer. Quelques minutes plus tard, ils aperçurent une forme sombre ramper dans la neige. C’est la louve, cria Bill !» Elle s’approchait tout doucement en regardant les hommes. Elle doit faire 75 centimĂštres de haut et un mĂštre cinquante de long. – On dirait un Ă©norme chien de traĂźneau. – HĂ© ! Gros chien ! Viens ici ! Bill appela. – On dirait qu’elle n’a pas peur. – Vas-y, il faut la tuer ! » Bill prit le fusil pour le mettre Ă  son Ă©paule mais l’animal disparu aussitĂŽt. Bien sĂ»r, cette louve ou cette chienne est assez intelligente pour reconnaĂźtre un fusil ! » La nuit venue, les deux voyageurs s’arrĂȘtĂšrent. Les trois chiens s’allongĂšrent Ă©puisĂ©s dans la neige. Les deux hommes ne purent pas dormir il fallait se relever sans cesse pour remettre du bois dans le feu et Ă©loigner les loups. Les marins racontent que les requins suivent les navires, dit Bill. Les loups sont comme des requins. Ils finiront par nous avoir. » 4/ Heureusement, aucun chien ne disparut dans la nuit. Mais pendant la matinĂ©e, le traĂźneau se renversa et il fallut dĂ©tacher les chiens. L’un d’eux se sauva Ă  toute vitesse et courut vers la louve qui attendait. A chaque fois que le chien s’approchait d’elle, elle reculait de quelques pas, comme pour l’entraĂźner loin des hommes. A un moment il regarda les hommes derriĂšre lui. Bill essayait d’attraper le fusil coincĂ© sous le traĂźneau renversĂ©. Le chien comprit qu’il Ă©tait tombĂ© dans un piĂšge et essaya de s’enfuir mais une douzaine de loups bondit aprĂšs lui. Bill saisit enfin le fusil et courut aprĂšs les loups. Peu aprĂšs , Henry entendit un coup de feu, puis deux autres. Il comprit que Bill n’avait plus de cartouches. Il y eut un grand bruit, des grondements et des cris. Henry entendit Bill hurler. Puis le silence retomba sur le paysage glacĂ©. Henry resta longtemps assis sur le traĂźneau. Il savait bien ce qui Ă©tait arrivĂ©. Il finit par se lever et tira lui-mĂȘme le traĂźneau avec les deux derniers chiens. DĂšs que la nuit commença Ă  tomber, il s’arrĂȘta pour camper et mangea. Il ne put pas dormir. Les loups Ă©taient tout prĂšs. Il fit un grand feu toute la nuit car c’était la seule façon de ne pas se faire dĂ©vorer. Le lendemain, Henry repartit sans le cercueil qui Ă©tait trop lourd. Il put avancer assez vite avec ses deux chiens. Les loups suivaient, maigres, la langue rouge et pendante. Le soir, Henry coupa une grande quantitĂ© de bois. Il avait trĂšs sommeil mais il ne pourrait pas dormir. Si jamais il s’endormait, ce serait la fin pour lui. 5/ Dans la nuit, Henry vit la louve Ă  quelques mĂštres qui le regardait. Sa gueule s’ouvrait avec gourmandise, ses crocs blancs brillaient et la salive lui coulait des lĂšvres. Henry, terrorisĂ©, lui jeta une branche enflammĂ©e et la louve s’enfuit. Le lendemain matin, un loup plus courageux que les autres se jeta sur lui. Il le repoussa avec du bois enflammĂ© et resta toute la matinĂ©e prĂšs du feu. Il s’endormit un tout petit peu et rĂȘva de sa maison. Mais soudain, il sentit des crocs lui dĂ©chirer le bras. Il se rĂ©veilla et sauta au milieu du feu. A pleines mains, il attrapait les branches brĂ»lantes et les lançait. Ses gants le protĂ©geaient. On aurait dit un volcan. Henry avait le visage brĂ»lĂ©, les cils et les sourcils grillĂ©s. Les loups reculĂšrent. Vous ne m’aurez pas, sales bĂȘtes ! criait-il.» Il resta derriĂšre le feu pendant plusieurs heures, il Ă©tait Ă©puisĂ©. Les loups avaient mangĂ© ses deux chiens. Quand il n’eut plus de bois, il s’allongea, regarda la louve et lui cria Tu peux me dĂ©vorer maintenant ! Ah, vous m’avez eu ! » Il ferma les yeux, il entendit un bruit de traineau ! il s’évanouit. Quand il se rĂ©veilla, il sentit que les loups Ă©taient partis. Des hommes l’entouraient. Ils le questionnĂšrent dĂšs qu’il le virent ouvrir les yeux. Henry murmura La grande louve 
 elle a dĂ©vorĂ© Bill
 le poisson
 les chiens
 » Et il s’endormit aussitĂŽt pour de longues heures. Fin du chapitre I. CROC BLANC adaptĂ© facile Ă  lire LE LIVRE >>>>> Nous nous sommes rendus compte que le film n’avait rien Ă  voir avec le livre, c’est un mĂ©lange entre le milieu du livre, la fin, et tous les sentiments de Croc Blanc sont omis. Nous avons relu le livre ensemble, chapitre par chapitre, et Ă  la fin de chaque chapitre nous en discutions, elle me donnait son avis, je donnais le mien, et elle faisait un rĂ©sumĂ©. L’interrogation qu’elle devait avoir Ă  la rentrĂ©e des vacances Ă©tait sur le livre, donc il fallait qu’elle se souvienne de tout c’est pour cela qu’on a fait un rĂ©sumĂ© de chaque chapitre, elle a d’ailleurs eut un 14/20, et apparemment beaucoup ont eut en dessous de la moyenne, faut dire que c’est un livre difficile Ă  lire pour des sixiĂšmes. VoilĂ  ce que cela donnait Chapitre 1 La piste de la viande L’histoire se passe dans une forĂȘt immense, Le Wild, ou le Grand Nord, bordĂ© d’un fleuve glacĂ©, Le MACKENZIE, Deux hommes Bill et Henry, avec des chiens de traineaux six pour ĂȘtre prĂ©cis, traversent cette forĂȘt avec un cercueil, se sont des croquemorts qui ont pour mission de ramener le corps Ă  sa famille. Ils sont poursuivis par des loups affamĂ©s. Dans ce chapitre trĂšs dĂ©taillĂ© sur le paysage, une intrigue commence, celle des six chiens, qui se retrouvent sept le soir au moment du repas, et cinq le lendemain matin, Bill et Henry ne comprennent pas comment un des chiens Ă  pu s’éloigner sachant les loups autour, c’est du suicide. Tous les soirs ils Ă©tablissent un campement, se font un feu pour Ă©loigner les loups, se rĂ©chauffer, et cuire la nourriture. Les loups ne cessent de les suivre et les observer. Chapitre 2 La Louve Bill a l’idĂ©e d’attacher les chiens le soir, avec un bĂąton pour qu’ils ne s’enfuient pas. Mais l’un d’eux s’échappe tout de mĂȘme, avec l’aide d’un des chiens, qui mord sa corde pour le libĂ©rer. Bill et Henry comprennent enfin pourquoi les chiens s’enfuient, ils suivent la louve qui vient les chercher pour les Ă©loigner afin que la meute de loup les attrapent et les mangent. En trois soirs, trois chiens ont suivi la louve. Les deux hommes sont fatiguĂ©s, et ne peuvent rien faire car ils ne leur restent plus que trois cartouches, ils ont bien essayĂ© de viser la louve pour sauver leur trois autres chien, mais la louve est partie Ă  la vue du fusil. Elle connait les armes, les horaires de repas, et n’a pas peur des hommes, ils en conclu que c’est un chien apprivoisĂ©, qui ressemble Ă  un loup. Plus les jours passent, plus ils avancent et plus les loups se rapprochent d’eux, Bill perd le moral, il pense que les loups arriveront Ă  leur fin, et finiront par les manger, car la meute les aura Ă  l’usure. Chapitre 3 Le cri de la faim Le traineau s’est coincĂ© entre un rocher et des arbres, tout ce que les hommes transportaient s’est renversĂ©. Pendant qu’ils essaient de se sortir de lĂ , un des chiens, “N’a qu’une oreille”, tente de suivre la louve, la meute de loup commence Ă  le poursuivre, et Bill tente d’aller Ă  son secours avec le fusil, chargĂ© de seulement trois cartouches. Mais la fin est inĂ©luctable, la meute de loup les attrapent tous les deux. Henry se retrouve seul avec deux chiens, il comprend qu’il risque d’y passer aussi, il trouve le moyen d’accrocher le cercueil Ă  un arbre en hauteur pour que les loups ne puissent pas le manger, il se fait du feu pour se protĂ©ger, et reste lĂ , essayant d’approvisionner le feu rĂ©guliĂšrement pour Ă©viter que les loups ne se rapprochent, les loups affamĂ©s, squelettiques se rapprochent dangereusement de leur proie. Henry dort par Ă  coup, mais se fait surprendre par les loups qui commencent Ă  le mordre, il a le rĂ©flex de sauter dans le feu, de jeter des brindilles, il arrive Ă  Ă©loigner les loups, mais il sait que ce n’est que temporairement. Il a l’idĂ©e, malgrĂ© la fatigue, la faim, le froid, de faire un cercle de feu et d’y dormir Ă  l’intĂ©rieur. Il sent la fin venir et admire son corps, ses mains, il sera le gibier des loups, comme le lapin ou le faisant fut le sien par le passĂ©. Il ne sait pas ce qu’il va se passer, mais il n’en peux plus et s’endort profondĂ©ment. Les loups sont prĂȘt Ă  bondir sur lui, et six hommes arrivent Ă  sa rescousse, Henry est sauvĂ©, fatiguĂ©, endormi, mais sauvĂ©. Cette parti de l’histoire s’arrĂȘte lĂ , on entendra plus parler d’Henry ailleurs dans le livre. Chapitre 4 Combats des crocs A la vue des hommes, la louve a Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  partir, les loups ont fini par la suivre. Ils ont errĂ© longtemps en quĂȘte de nourriture, et on fini par trouver un Ă©lan, les loups rassasiĂ©s finissent par se sĂ©parer, la louve avec un loup borgne, un loup gris, et un jeune loup de 3 ans. Les trois loups ne cessent de se rapprocher de la louve qui les rejettent de maniĂšre trĂšs agressives, le plus jeune, plein d’énergie, ne cesse ses rapprochements, ce qui entraine l’attaque du loup borgne et du loup gris qui finissent par le tuer, le loup borgne en profite pour tuer le loup gris. La louve, spectatrice de ce combat, se rapproche du loup borgne, ils folĂątrent ensembles dans la forĂȘt du grand nord, elle lui apprend Ă  se nourrir grĂące aux piĂšges des indiens, puis un beau jour, elle se met Ă  la recherche d’un abri, le loup borgne patient, prĂ©venant continu de la suivre dans sa quĂȘte. Chapitre 5 La TaniĂšre La louve trouva enfin ce qu’elle cherchait, et pu mettre bas cinq petits louveteaux Ă  l’abri dans leur taniĂšre. Le loup borgne vit les cinq petits louveteaux, mais la louve l’empĂȘchait de s’approcher, elle sait d’instinct que certains loup mange leurs progĂ©nitures. Le loup borgne s’éloigna et se mit Ă  chercher de la nourriture, d’instinct il savait qu’il devait nourrir la louve et par son biais les enfants. Il chassa un lagopĂšde qui est une perdrix ou une poule des neiges dans le langage courant, et attendit patiemment que le lynx chasse un porc Ă©pic, car il avait dĂ©jĂ  eut Ă  faire avec cet animal par le passĂ© et savait qu’il pouvait se blesser, il savait donc que le lynx se blesserait en essayant de le chasser et il n’aurait plus qu’à se servir lorsque le lynx partirait, et c’est ce qui arriva, il put manger le lagopĂšde et donna le porc Ă©pic Ă  la louve, qui devint moins agressive envers lui. Chapitre 6 Le louveteau gris Les louveteaux sont semblable Ă  la mĂšre, avec un petit reflet roux, Ă  l’exception d’un seul qui a tout de son pĂšre, le louveteau gris. Il s’éveille Ă  la vie, il apprend, il observe, il essaie d’aller vers la lumiĂšre, il est curieux. De toute la portĂ©e, c’est le seul qui survivra, les autres succombe Ă  la famine. Le loup borgne chasse tous les jours, et parfois ne rentre pas car le froid est revenu, et la nourriture se fait rare, la louve se met aussi en quĂȘte de nourriture, et le louveteau reste seul dans sa taniĂšre. Sa mĂšre lui a appris Ă  ne pas s’avancer vers “la lumiĂšre”, cette lumiĂšre qui est l’entrĂ©e de la taniĂšre, mais le loup commence peu Ă  peu Ă  s’interroger, Ă  ĂȘtre curieux de ce qu’il y a vers cette lumiĂšre, il y voit son pĂšre, sa mĂšre, rentrer et sortir. Un jour son pĂšre ne revint plus du tout, la louve compris bien vite que le lynx qui vit Ă  proximitĂ© d’eux, l’avait attrapĂ©, le lynx aussi est une femelle qui protĂšge ses petits et qui cherche de la nourriture. Chapitre 7 La muraille du monde Cette muraille du monde est l’entrĂ©e de la taniĂšre, le loup a enfin le courage de sortir, d’aller Ă  la dĂ©couverte du monde sauvage qui l’entoure. En tombant dans l’eau, il apprend que l’eau est liquide, on ne peut marcher dessus. Il se trouve de la nourriture, en mangeant les petits lagopĂšde dans leur nid, mais se fait attaquer par leur maman, il Ă©chappe de peu Ă  un faucon qui voulu l’attraper, il rencontre une belette qui l’attaque au cou, et qui l’aurait sans doute tuĂ© si sa mĂšre ne l’avait pas secouru, avertit par ses cris. Il appris cette journĂ©e lĂ , qu’il ne valait mieux pas s’attaquer aux plus grands, qu’il pouvait s’attaquer aux petits. Chapitre 8 La loi de la viande Le louveteau apprend Ă  chasser, il apprend le cycle de la vie, il comprend qu’il ne peut pas s’attaquer Ă  toutes les espĂšces, la louve a tuĂ© des bĂ©bĂ©s lynx pour se nourrir elle et son petit, la mĂšre lynx s’est donc attaquĂ©e Ă  elle dans sa taniĂšre, elle fut tuĂ©e par la louve et le louveteau ensemble, mais ce fut un combat trĂšs difficile ou le louveteau failli mourir et la louve aussi, elle eut besoin de plusieurs jours pour se remettre. Le louveteau appris qu’il fallait manger, ou ĂȘtre manger. Chapitre 9 Les faiseurs de feu Le louveteau en sortant de sa taniĂšre pour aller boire prĂšs du fleuve, rencontre des indiens, les indiens le voit et s’approche pour le caresser, le louveteau qui n’a jamais vu d’humain, le mord, l’indien le frappe, le louveteau se met Ă  piauler pousser des petits cris aigus, la louve entendit les cris et vint Ă  sa rescousse, l’indien reconnait en elle KitchĂ©, le chien de son frĂšre dĂ©cĂ©dĂ©. L’indien se nomme Castor Gris, il raconte Ă  ses amis que KitchĂ© est moitiĂ© chien, de par sa mĂšre, et moitiĂ© loup de par son pĂšre, le louveteau qu’il appelle Croc Blanc car ses crocs sont blanc, est donc 3/4 loup, et 1/4 chien. Castor Gris garde KitchĂ© et Croc Blanc, car KitchĂ© appartenait Ă  son frĂšre mort, et donc lui revient de droit. Pour que la louve ne s’enfuit pas, il l’attache, Croc Blanc reste prĂšs de sa mĂšre, il est libre, et promĂšne dans tout le campement, il voit les indiens prĂšs du feu, il ne connait pas cette lumiĂšre intense, et chaude, et s’approche pour essayer de la gouter, mais se brule, les indiens se moquent de lui, Croc Blanc apprend le sentiment de honte, il ne comprend pas la langue des indiens, mais comprend quand on se moque de lui, et il n’aime pas ça. Dans le campement se trouve aussi un autre loup, Lip Lip qui ne l’aime pas, mais il n’est pas le seul, les autres chiens aussi ne l’apprĂ©cient guĂšre, Lip Lip essaie d’attaquer Croc Blanc, qui l’entraine prĂšs de sa mĂšre pour qu’elle le dĂ©fende. Les indiens sont pour Croc Blanc, des Dieux, qui ont le pouvoir de faire du feu et de se faire obĂ©ir des animaux. Chapitre 10 la servitude Castor Gris libĂšre KitchĂ© au bout de quelques temps, quand il sait qu’elle ne s’échappera pas. Enfin rĂ©unit, elle et Croc Blanc se promĂšne dans tout le campement, Lip Lip ne l’embĂȘte plus car il est protĂ©gĂ© par sa mĂšre. Lorsque la Louve et Croc Blanc se trouvent Ă  la lisiĂšre du camp, ils ont la vue sur la forĂȘt dans laquelle ils ont vĂ©cu, et ils ressentent “l’appel de la forĂȘt” c’est un autre titre du mĂȘme auteur Jack London. La louve domestiquĂ© depuis des annĂ©es prĂ©fĂ©rait la compagnie des Dieux, Croc Blanc encore jeune, ressent fortement cet appel. Un jour Castor Gris qui devait de l’argent Ă  un autre indien prĂ©nommĂ© trois-aigles, lui paya la dette avec quelques accessoires, et KitchĂ©, Trois-aigle remonta le Lac Mackenzie, et Croc Blanc voulu les suivre, Castor Gris le rĂ©cupĂ©ra dans le fleuve et le battit fort, il ne pouvait quasiment plus bouger, il ne s’échappa plus. Il pleura toute la nuit, mais se fit encore battre, il pleura donc en silence, pleurant la perte de sa mĂšre
 Chapitre 11 Le rĂ©prouvĂ© AprĂšs le dĂ©part de KitchĂ©, Lip Lip et les autres chiens en profita pour attaquer Croc Blanc en bande quand il Ă©tait tout seul, il essayait donc de rester le plus souvent prĂšs de Castor Gris. Mais il acquit grĂące Ă  eux l’endurance, la fĂ©rocitĂ© et l’intelligence. En effet, il se devait de courir plus vite que la bande pour que les chiens ne le rattrapent pas, mais si un chien se retrouvait seul, soit au campement, soit distancĂ© pendant l’attaque, Croc Blanc faisait volte face pour l’attaquer au cou et sectionnĂ© la veine qui leurs ĂŽtaient la vie. Il devait sans arrĂȘt ĂȘtre sur ses gardes. Chapitre 12 L’hiver arrivait, les indiens se prĂ©parait pour partir, Croc Blanc alla se promener en forĂȘt, et ne revint pas Ă  l’appel de Castor Gris et sa famille, il souhaitait ĂȘtre libre, vivre en forĂȘt comme avant. Il se retrouva seul, seul face Ă  lui mĂȘme, dans le froid, dans la peur, et sans nourriture. Il repartit Ă  la recherche de ceux qu’il appelait les Dieux, il n’était pas heureux avec eux, mais il Ă©tait encore plus malheureux en forĂȘt, au moins avec les Dieux il avait de la chaleur avec le feu, de la nourriture, et il se sentait en sĂ©curitĂ©. Il retrouva la piste des indiens, grĂące Ă  un Ă©lan qui fut tuĂ© par Castor Gris. Il s’approcha tout doucement, la tĂȘte baissĂ©, pensant que Castor Gris le battrait, mais il n’en fit rien et lui donna du suif c’est un produit rĂ©siduel Ă  base de fonte de graisse d’animaux. Chapitre 13 Castor Gris, fait de Croc Blanc un chien de traineau, il l’attache et ils voyagent avec Kloo Kootch sa femme et Mit sah, son fils. Croc Blanc ne pense presque plus Ă  KitchĂ©, il se rapproche de plus en plus de son Dieu Castor Gris et de sa famille, il les dĂ©fends, Un jour Mit Sah se fait attaquĂ© par une bande d’enfant, Croc Blanc le dĂ©fendit et attaqua la bande, S’il voit un homme roder prĂšs des affaires de Castor Gris, il l’attaque, pour lui son Dieu c’est Castor Gris, sa femme et son enfant sont sa propriĂ©tĂ© Ă  dĂ©fendre, et il doit aussi dĂ©fendre ses biens. Mit Sah qui avait vu que Lip Lip s’attaquait souvent Ă  Croc Blanc, mis Lip Lip en chef de file sur le traineau, le traineau Ă©tant fait en Ă©ventail, un chien se trouvait en tĂȘte, et les autres lui courraient aprĂšs. Le chef de file Ă©tait toujours le dĂ©testĂ© car les chiens ne voyaient de lui que son derriĂšre, et lui courraient aprĂšs, si Lip Lip se retournait pour se dĂ©fendre, Mit Sah le fouettait et poussait le vice en lui donnant de la viande, pour attiser la haine des autres chiens sur Lip Lip. Lip Lip se retrouvait Ă  la place de Croc Blanc avant, et n’osait plus s’éloigner de Mit Sah de peur de se faire attaquer. Chapitre 14 La famine La famine pointe son nez dans le campement, Ă  tel point que les indiens commençaient Ă  manger leur accessoires qu’ils avaient fabriquĂ© en peau de mouton, les moufles, les mocassins, et mĂȘme les chiens en commençant par les plus faible ou les plus vieux. Les chiens les plus intelligent, qui avaient compris que leur tour viendraient tĂŽt ou tard, partirent vers la forĂȘt. Croc Blanc se souvenait de son enfance en forĂȘt, il survĂ©cut grĂące Ă  des petites chasses ça et lĂ , il retrouva mĂȘme KitchĂ©, qui ne le reconnut plus et qui avait eut une autre portĂ©, Croc Blanc se souvenait d’elle, mais l’oublia vite quand vu que ce n’était pas rĂ©ciproque et que KitchĂ© pour protĂ©ger sa portĂ© lui grognait dessus. Croc BLanc rencontra Lip Lip, et le mangea. La fin de l’hiver arriva, la famine cessa Croc Blanc revint vers Castor gris, Kloo Kootch, Mit Sah, heureux de le revoir, l’accueillirent avec des cris de joies. Chapitre 15 L’ennemi de sa race Mit sah a pris Croc Blanc dans son traineau, et il a pris la place que Lip Lip occupait avant, le chef de file, il est donc dĂ©testĂ© de tout ses congĂ©nĂšres. Castor Gris qui a entendu parlĂ© de la ruĂ© vers l’or, dĂ©cide d’aller Ă  Yukon vendre ses peaux d’ours, et autres accessoires qu’il a fabriquĂ© moufle mocassin,.. Il emmĂšne avec lui Croc Blanc qui dĂ©couvrit d’autres races de chiens, tous les jours un bateau arrive avec des Ă©trangers et leur chiens, il y a des petits, des cours sur pattes, des longs, 
 Croc Blanc les attaques et les tues, cela devient son occupation de tous les jours, il part avant que leurs maĂźtres le voit. Beauty Smith admire ce spectacle tous les jours, et n’a qu’un seul but, c’est de possĂ©der ce Loup. Chapitre 16 Le Dieu Fou Castor Gris ne veut pas vendre Croc Blanc, mais Beauty Smith le veut, et revient chaque jour voir Castor Gris avec une bouteille de Whisky, Castor Gris fini par en devenir dĂ©pendant et quand il ne lui resta plus rien, il accepta de vendre le loup contre des bouteilles de Whisky. Croc Blanc qui ne comprenait pas, avait beau s’échapper de chez Beauty Smith pour revenir chez Castor Gris, Castor Gris le redonnait Ă  chaque fois Ă  Beauty Smith qui le battait de plus en plus fort. Croc Blanc n’aimait pas Beauty Smith, son dieu c’était Castor Gris, il ne l’aimait pas car il Ă©tait mĂ©chant, et pervers, il aimait faire souffrir Croc Blanc. Chapitre 17 Le rĂšgne de la haine Beauty Smith enferme Croc Blanc dans une cage et pour l’exciter, il le frappe avec des batons, Croc Blanc devient agressif, Ă©nervĂ©. Beauty Smith ne le libĂšre que pour les combats, il se fait payer Ă  chaque combat de chiens contre son loup, il gagne aussi de l’argent sur les paris et en montrant Croc Blanc dans sa cage. Mais aprĂšs avoir combattu diffĂ©rents chiens, plus personne ne souhaite faire combattre son chien contre lui, Beauty Smith en vient Ă  faire faire capturer par des indiens des animaux sauvages comme des lynx ou des loups. Croc Blanc n’est libĂ©rĂ© de sa cage que lors des combats, et est aussitĂŽt remis en cage, oĂč il sera frappĂ©, moquĂ©, et excitĂ©. Chapitre 18 Duel Ă  mort. Tim Keenan souhaite que son chien Cherokee combat Croc Blanc. Cherokee est un Bulldog. Croc Blanc ne connait pas ce genre de chien, il a la peau qui pend, et ne bouge pas malgrĂ© ses attaques, il essaie d’attraper le cou, mais il a la peau qui s’étire, Cherokee fini par attraper Croc Blanc et Ă  ne plus le lĂącher, Croc blanc presque mort reçoit des coups de pieds de Beauty Smith qui ne supporte pas de perdre. Weedon Scott et Matt arrivent Ă  temps pour sauver Croc Blanc de cet enfer, il l’achĂšte de force Ă  Beauty Smith qui ne souhaite pas le vendre, Weedon Scott le bat et lui donne 150 dollars. Chapitre 19 L’indomptable Weedon et Matt essaient d’apprivoiser Croc Blanc, mais il est agressif, il a peur, il est perdu, et n’a plus confiance en l’ĂȘtre humain. Weedon et Matt ont des chiens de traineaux, et vivent dans une cabane, un jour Weedon voulu donner de la viande Ă  Croc Blanc, qui mis du temps Ă  la prendre, par peur d’une entourloupe, un autre chien du nom de Major, sauta sur la viande et l’avala, Croc Blanc l’attaqua et le tua, ils ne lui en voulurent pas, car il fit cela pour se dĂ©fendre, mais il mordit Matt, ils voulurent alors le supprimer pensant qu’il ne pouvait ĂȘtre apprivoisĂ©. Mais Croc Blanc rĂ©agissait au fusil, il savait ce que c’était, il Ă©tait intelligent, et ils ne purent le tuer. Chapitre 20, le maĂźtre bien aimĂ© Weedon se mit Ă  parler Ă  Croc blanc, doucement, gentiment, il ne s’approchait pas de lui, il restait lĂ  Ă  lui parler, puis peu Ă  peu il lui donna de la viande Ă  la main, Croc Blanc n’osait au dĂ©but pas s’approcher, puis lorsque Weedon lui montra qu’il ne lui lancera pas la viande, qu’il faudrait qu’il vienne jusqu’à lui, il se mit Ă  s’approcher, et pendant ce temps Weedon le caressa, faisant naitre en Croc Blanc un nouveau sentiment, l’amour. Seul Weedon pouvait le caresser, lui parler, mais c’est Matt qui le nourrissait chaque jour. Un jour Weedon partit, Croc Blanc compris qu’il ne le verrait plus et finit par se laisser mourir, il Ă©tait triste, il ne bougeait plus, Matt le fit rentrer dans la cabane et Ă©crit une lettre Ă  Weedon en lui disant que le loup allait mourir, qu’il Ă©tait triste. Weedon revint le voir et Croc Blanc retrouva l’envie de vivre. Un soir Beauty Smith revint avec une chaĂźne et un gourdin masse, il voulait voler Croc Blanc, Le loup l’attaqua, il fut sauver par Weedon et Matt. Chapitre 21 Le grand voyage Croc Blanc sentait que son maĂźtre allait repartir, il sentait son attitude changeait, il voyait la valise, Weedon et Matt sentait bien que Croc Blanc ressentait le dĂ©part. Vint le jour du dĂ©part, Matt et Weedon enferma Croc Blanc dans la maison et partirent. Matt accompagna Weedon jusque sur le bateau, et au moment de la sĂ©paration, ils virent sur le bateau Croc Blanc, ils virent les blessures sur lui et comprirent qu’il Ă©tait passĂ© par la fenĂȘtre, Weedon ne put se sĂ©parer de Croc Blanc et dĂ©cida de l’emmener avec lui en Californie, mĂȘme s’ils pensaient tous les deux qu’il aurait du mal Ă  se faire au climat chaud et Ă  la ville. Matt descendit du bateau, et Weedon et Croc Blanc s’éloignĂšrent sur L’Aurora. Chapitre 22 Le Sud Weedon et Croc Blanc sont arrivĂ©s en Californie, les parents de Weedon sont venus le chercher, et Croc Blanc qui voit des personnes prendre son maĂźtre dans les bras, se met Ă  grogner, Weedon le calme et explique Ă  ses parents qu’il faudra faire attention avec Croc Blanc en attendant qu’il lui apprenne Ă  ĂȘtre doux. ArrivĂ©s Ă  la maison du Juge Scott, Croc Blanc se fait pourchasser par Collie, la chienne du de la femme du juge et donc de la mĂšre de Scott, un berger, il ne se dĂ©fend pas, il ne peut attaquer une femelle, c’est dans ses gĂȘnes, il se laisse donc faire ou essais de l’éviter. Mais lorsque le deuxiĂšme chien qui vit dans le domaine arrive, c’est un levrier du nom de Dick, le chien du juge, Croc Blanc n’est pas loin de lui sauter dessus et de le tuer, mais ils sont sĂ©parĂ© Ă  temps. Il va devoir apprendre Ă  vivre avec tous ce monde. Chapitre 23 Le domaine du Dieu Croc Blanc apprend Ă  vivre au domaine Sierra Vista le domaine du juge Scott, il a appris qu’il y avait plusieurs Dieux Ă  respecter Le juge Scott et sa femme, les parents de son maĂźtre, ses deux soeurs Beth et Mary, Sa femme Alice, et ses enfants Weedon et Maud de 4 et 6 ans. Il apprend aussi Ă  ne pas s’attaquer aux animaux du domaine comme les poules, les chiens, les chevaux,.. Chapitre 24 L’appel de l’espĂšce Lorsque Weedon part en promenade Ă  cheval, Croc Blanc le suit, ils ont l’habitude de faire de longue promenade, mais un jour, le maĂźtre tombe et se fait une fracture, incapable de bouger, il envoie Croc Blanc chercher les secours. Au dĂ©but la famille vit arriver Croc Blanc sans comprendre ce qu’il avait, mais la femme de Scott comprit vite que son mari avait un soucis et suivirent le loup. Chapitre 25 Sommeil du Loup Collie le Berger, devint plus gentille avec Croc Blanc, et disposĂ©e Ă  folĂątrer avec lui, il laissait son maĂźtre promener seul Ă  cheval, il s’était habituĂ© Ă  cette petite vie tranquille. Jim Hall est un homme Ă©chappĂ© de prison. Il y fut enfermĂ© par le Juge Scott et promis qu’il se vengerait, en effet cet homme a Ă©tĂ© emprisonnĂ© malgrĂ© son innocence, c’était un coup montĂ©, le juge Scott n’y Ă©tait pour rien, il ne savait pas, mais Jim Hall dans sa cellule pensait qu’il Ă©tait de mĂšche avec ceux qui voulait l’enfermer. La famille Scott, mis Ă  part le juge, s’inquiĂ©ta, et un soir Alice fit rentrer Croc Blanc dans la maison, Jim Hall pĂ©nĂ©tra ce soir lĂ  dans le salon et au moment de monter les escaliers fut attaquĂ© par Croc Blanc, des coups de fusil, des bruits, toute la famille se rĂ©veilla et vit Jim Hall et Croc Blanc couchĂ© au sol immobile. Le juge compris que Croc Blanc lui avait sauvĂ© la vie, et l’amena rapidement chez le docteur, mais il y avait peu d’espoir, il devait subir une opĂ©ration risquĂ©, et qui n’assurait pas sa survit, des cĂŽtes cassĂ©, une balle, le loup avait perdu trop de sang. Toute la famille s’organisa pour ĂȘtre prĂšs de lui, ils refusĂšrent tous les infirmiĂšres, les filles de la famille se relayer pour les soins, le juge fit appel au meilleur chirurgien pour avoir une chance de le sauver, et cette chance arriva, Croc Blanc put rentrer chez lui et dĂ©couvrit Collie et 6 petits chiots
 FIN MON AVIS Ce que j’ai aimĂ© C’est une jolie histoire, et les sentiments du chien et son point de vue sont trĂšs bien dĂ©taillĂ©s et expliquĂ©s, on comprend mieux les loups avec ce livre et les chiens aussi. C’est original de voir un livre oĂč le hĂ©ro n’apparait qu’au sixiĂšme chapitre, mais cela explique aussi les gĂȘnes qu’il y a dans Croc Blanc, et d’oĂč lui vient cette force et agressivitĂ©. Ce que j’ai moins aimĂ© Le livre est dans un langage trĂšs soutenu, il y a pas mal de mot que l’on emploie pas tous les jours, et parfois mĂȘme que je n’avais jamais entendu, le français des annĂ©es fin 1800 lol cela ne gĂȘne en rien la comprĂ©hension du livre, mais pour un enfant de 11/12 ans, je trouve le livre un peu difficile Ă  lire, j’ai 34 ans, pour moi ça a Ă©tĂ©. Heureusement que nous l’avons relu ensemble, j’ai pu lui expliquer plus en dĂ©tail certains chapitres qu’elle avait du mal Ă  comprendre. Elle a tout de mĂȘme reconnu que l’histoire Ă©tait jolie et que finalement le livre Ă©tait bien, aprĂšs une premiĂšre lecture un peu difficile, la deuxiĂšme avec moi Ă©tait plus sympa et ne lui a heureusement pas dĂ©goutĂ© de lire, car vu la longueur et les dĂ©tails, cela aurait pu. L’histoire est un peu trop dĂ©taillĂ©e, je pense que l’auteur veut nous mettre dans l’ambiance et nous faire vivre l’histoire comme si l’on y Ă©tait, et il y arrive avec brio, et ma fille a prĂ©fĂ©rer quand je lui racontait l’histoire avec passion que lorsqu’elle l’avait lu toute seule. C’était la premiĂšre fois qu’il voyait des hommes, mais d’une maniĂšre confuse, inexplicable, il sentait qu’il les connaissait. Pendant des siĂšcles, les prunelles de braise de ses ancĂȘtres avaient dansĂ© autour des feux de camps allumĂ©s dans la nuit du Grand Nord par les animaux Ă  deux pattes. Jack London tirĂ© de Croc Blanc Fiche de lecture sur croc-blanc Isabelle Consiglio TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat Format ePub Sans DRM RĂ©sumĂ© Tout ce qu'il faut savoir sur Croc-Blanc de Jack London ! Retrouvez l'essentiel de l'?uvre dans une fiche de lecture complĂšte et dĂ©taillĂ©e, avec un rĂ©sumĂ©, une Ă©tude des personnages, des clĂ©s de lecture et des pistes de de maniĂšre claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre du roman, puis s'intĂ©resse aux diffĂ©rents personnages, sans oublier le vĂ©ritable hĂ©ros de l'histoire, le loup, Croc-Blanc, auquel l'auteur attribue des affects humains. On Ă©tudie ensuite les particularitĂ©s du style de London, sa rĂ©flexion sur la nature humaine et la reprĂ©sentation de la nature dans le roman. Enfin, les pistes de rĂ©flexion, sous forme de questions, vous permettront d'aller plus loin dans votre Ă©tude. Une analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence pour mieux lire et comprendre le livre ! CaractĂ©ristiques techniques NUMERIQUE Éditeurs Lemaitre Publishing Auteurs Isabelle Consiglio Parution 31/08/2011 Nb. de pages 12 Contenu ePub EAN13 9782806220943 Avantages Livraison Ă  partir de 0,01 € en France mĂ©tropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles RĂ©sumĂ© CaractĂ©ristiques techniques Nos clients ont Ă©galement achetĂ©

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